La culture des plantes

"Pour commander la Nature il faut obéir à ses règles" Francis Bacon (1561 York House, 1626 Highgate) Novum organum

Toutes les plantes que nous transformons sont récoltés par nos soins.

- La reconnaissance botanique des plantes est assuré, c’est la base de notre travail, tout commence avec la nature, au plus près des plantes.

- La proximité et donc la compréhension de la nature des plantes est plus importante, ce rapport aux plantes, ce dialogue permanent avec la nature nous semble très important pour initier la guérison.

Nous cultivons toutes les plantes qui peuvent être cultivés et avec le maximum de biodiversité.

- Ne pas faire de récoltes qui peuvent être préjudiciables à la nature.

- Préserver le maximum d’espèces de plantes ou de variétés d’une seule espèce qui permettent en se mélangeant d’offrir un produit d’une qualité enrichi en biodiversité, c’est par exemple le cas pour le figuier avec environ 700 variétés mélangés, le pommier avec 200 variétés, etc…

C’est aussi un moyen de préserver la biodiversité cultivée.

Planter des arbres est une passion.

- Chaque année nous semons et plantons des arbres

- Nous organisons les cultures en mélangeant nature libre et cultivé.

- La biodiversité commence  en faisant  un “jardin culture“ grâce au mélange de toutes les espèces entrecoupés de haies vives régulières, d’arbres de haute tige en port libre et de nos plantes cultivés

Gemmessence commence avec la nature, avec la culture de la plus grande biodiversité, multiplier les variétés et les espèces est une façon de découvrir la nature dans ces différentes expressions, visuelles, olfactives, sensuelles, d’en capter l’essence, peut être aussi d’en percevoir le message de vie.

Cultiver en faisant de grands jardins de biodiversité est un des grands privilèges de l’homme et c’est une de ces plus grandes satisfactions :

"Dieu tout-puissant planta d'abord un jardin et vraiment, c'est le plus pur des plaisirs humains"

Francis Bacon, essais,  Des Jardins

Gemmessence cultive la grande majorité des plantes qui seront ensuite transformés pour préserver les espaces naturels, il n’y a  que la Bruyère des Landes Girondines et le Genévrier du Quercy qui viennent d’espaces non cultivés car ils ne sont pas en voie de disparition et sont certainement beaucoup plus puissants venant de leur biotope de prédilection.

Nous suivons le cahier de charges en culture biologique (AB) qui est une évidence, mais nous n’utilisons aucun traitement et prenons un grand plaisir à planter tous les ans beaucoup d’arbres de haies pour les oiseaux, pour la biodiversité en général et pour notre plaisir.