Végétalisme et carences

Seulement 1,5% des personnes végétariennes n’ont aucunes carences dû à ce régime.

Les autres végétariens ont entre 30 et 85% de carences nutritionnelles.

Le végétalisme ne convient pas à tout le monde : 40% des personnes peuvent le pratiquer avec néanmoins des apports en compléments alimentaires régulier indispensables.

Les 60 % restant ne devraient pas insister car ce n’est simplement pas dans leur « nature ». Ils vivraient constamment en sous-énergie et sans pouvoir compenser à 100% même avec des apports en compléments alimentaires régulier.

Il faut éviter de se lancer dans ce régime avant l’âge de 20 ans. Même si sur le moment un adolescent peut se sentir en forme malgré les carences, il peut entamer de façon irrémédiable son capital santé à long terme, notament en créant une carence en GH, hormone de croissance. La motivation éthique est évidement très louable, surtout compte tenu des méthodes industrielles de production peux respectueuses des animaux. En revanche, manger des oeufs de poules élevées en plein air (en bio) n’est pas détruire la vie (les poules pondent même sans être fécondés) et surtout les oeufs possèdent des vitamines, oligo-éléments, acides aminés indispensables au complet et on peut en manger entre 1 et 2 tous les jours (blanc cuit et jaune cru) sans aucunes conséquences négatives sur la santé.

L’intuition doit jouer le rôle principale aussi dans les choix alimentaires plutôt qu’une rigidité dogmatique dont la personne en serait la première « victime ». Il y a évidement des avantages pour les personnes qui sont compatible avec ce choix : une clarté mentale, une spiritualité plus présente. Suite à un régime végétarien, certaines personnes ont réussi à changer de vie, à être plus aligné avec leur être le plus profond, avec leur vrai « Nature ». L’impact de ce régime est donc bien plus profond qu’il n’en parait, pour cerrtaines personnes, il peut permettre de modifier leur vision de la vie et de leur véritable identité dans cette vie, une sorte de remise à zero, une reconstruction identitaire. On peut retrouver un tel impacte dans la pratique du jeûne. Néanmoins ces deux pratiques ne sont pas compatible avec toutes les personnes et l’effet peut même être opposé et favoriser un stress permanent à cause de profondes carences.

Dans la décision de passer à un régime végétarien, il peut y avoir des raisons diffférentes que la simple raison d’éthique, l’écologie ou même la quête spirituelle. Dans cette étude, j’ai recherché toute les blessures, toutes les croyances limitantes qui peuvent amener une personne à choisir ce régime pour d’autres raisons que l’ethique ou en combinaison avec cette raison.

Autres raisons d’être végétarien que l’unique éthique :

Le besoin d’appartenance (à un groupe)

Impuissance relationnelle (sentiment d’inéfficacité et de perte de pouvoir dans le lien à l’autre)

Blessures psychologiques

La peur des hommes : lorsqu’ils ont été la cause des blessures psychologiques ou physiques, violence entrainant un traumatisme de la mort, viol entrainant un traumatisme sexuel, violence psychologique

Une blessure existentielle : « Je n’existe pas », « Je ne m’aime pas «, « Je n’ai pas le droit d’exister tel que je suis ».

Une blessure identitaire

Une blessure d’humiliation

Une blessure de dévalorisation

Une blessure de rejet

Un sentiment d’illégitimité

Un manque d’estime de soi

Un manque affectif, manque d’amour de la mère,

« Je ne suis pas aimé »

« Je suis privé de complicité » (amis, conjoint, famille…)

« Je me prive de liberté »

« Je n’exprime pas mes colères»

Croyances limitantes

« Je dois tout contrôler pour être en sécurité »

« Mon corps doit être contrôlé »

« Si je suis heureux, je vais perdre quelque chose »

« Ce que je veux est impossible »

« Les autres savent mieux que moi ce qui est bon pour moi «

« Je dois faire ce que les autres attendent de moi »

« L’amour fait souffrir »

« Je ne suis pas à la hauteur »

« Les hommes sont tous les mêmes »

« Je ne peux pas vivre ma vie »

Traumatismes et choix alimentaire

Si la motivation pour choisir un régime vient d’une blessure psychologique, la personne vas alors tenter de se prouver, avec un régime contraignant, qu’elle a la force de contrôler ses émotions traumatiques. Les traumatismes peuvent altérer ou déséquilibrer certains systèmes lymbiques liés à la récompense et indirectement son rapport à la nourriture (boulimie, anorexie, …). Ces altérations activent un système de stress chronique et un dérèglement de la relation à la nourriture, qui se traduisent par un comportement alimentaire restrictif ou compulsif (ou les deux à la fois) comme une stratégie compensatoire face à la mémoire traumatique. Les choix alimentaires sont alors produits par des CSI : compensations symboliques inconscientes. Les CSI sont capables de modifier tous les paramètres physiologiques et ainsi tous nos comportements pour agir symboliquement sur nos blessures.

Si la compensation symbolique inconsciente vous interresse, je vous conseille les livres incontournables du Dr Pierre Jean Thomas Lamotte.

Si vous voulez aller plus loin je vous propose un accompagnement avec un bilan en cannalisation pour déterminer les causes des compensations symboliques inconscientes et pour vous proposer les chemins pour vous aider à les dépasser.

Les carences physiologiques

Carences en vitamines

Vitamines B12

Vitamines B9 (B12 et B9 sont interconnectés dans leurs fonctions biologiques = il faut généralement les prendre ensemble)

Vitamines B10 PABA

Vitamines B5

Co-enzyme Q10

Vitamines B15 Acide pangamique

Vitamines D

Vitamines E

Calcium

Carences en minéraux et oligos-éléments

Zinc, bisglycinate

Bismuth

Cuivre

Fer

Iode

Carences en hormones

Testostérone (homme et femme)

Oestrogènes

Progestérone

Thyroïde :

Hypotalamus :

GHRH somatocritine = stimule la production de GH (hormone de croissance)

Inhibine B (pour les hommes)

Inhibine A & B (pour les femmes)

Leptine

Glandes surrénales :

Aldostérone = équilibre des électrolytes et hydriques sodium / potassium

Autres compléments alimentaires :

Eau de mer

Sève de bouleau

Levure de bière

Picnogénol

Carnitine

Potassium

Hydroxycitrate = Garcinia gummi-gutta, Garcinia cambogia

Acide gras Omega-3

L-carnosine

Carnitine

Astaxantine

DHA, acide docohaxaaénoïque (AGPI, acide gras polyinsaturés) = algues

Sulforaphane (100%)

Indole-3-carbinol (100%)

ALA, Acide alpha lipoïque

Potassium

NADH

Acides aminés

GABA

Tyrosine

Leucine

Arginine

Glutamine

Taurine

Ornithine

Histidine

Macéractions de Plantes et champignons Gemmessence (pour compenser les carences) :

Garcinia gummi-gutta, Garcinia cambogia (une des rares plante possèdant de l’hydroxycitrate)

Cette plante est sutout connu pour contribuer à la perte de poid (régulation de l’appetit et réduction du stockage de graisses) mais elle agit aussi sur plusieurs autres paramètres :

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Armoise annuelle, Artemisia annua

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Rose de Jéricho, Anastatica hierochuntica

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Noisetier, Corylus avelana

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Néflier du Japon, Eriobotrya japonica

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Schisandra, Schisandra sinensis

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Pin sylvestre, Pinus sylvestris